Dans la série "un inconnu vous poutre sans douceur", j'ai eu mal aux fesses récemment
En très gros résumé, car ça ne vaut pas plus; je faisais une partie en roi, bien déterminé à être maître de la situation sur mon continent ! Chose faite, j'ai boosté la branche militaire dans un premier temps, et profité de la faiblesse d'un de mes voisins cerné par des barbares, d'entrée de jeu grâce à des ruines ayant transformé des éclaireurs en archers.
Tout se passe à merveille, je conforte les villes neutres alentours en purgeant les menaces barbares, j'ai de la tunes, je bloque les accès à mon territoire en créant peu de villes mais judicieusement placées, puis je déroule les tours sans encombres, profitant d'une guerre éclair avec l'iroquois qui me lâche très très rapidement la ville qu'il me fallait et des conditions avantageuses.
Les tours passant, je m'endors un peu sur mes lauriers (bien que ne jouant pas césar, mais les teutons); je passe les âges ... mais j'oublie un peu d'explorer les mers en détail, par oubli du fait d'une partie jouée par à-coups, et sans doute par fainéantise en me cantonnant sur mon territoire, mon préciiiiiiiiiiiiiiieux, obnubilé par mes terres .... Tout d'un coup d'un seul, j'ouvre les yeux, voyant que cet empaffé de japonais a un âge de plus que moi, qu'il construit pas mal, que des civilisations disparaissent à la pelle ... ah ?
La suite est logique, le gougnafier me la joue plage de débarquements un peu plus tard, avec une bien belle force de frappe, façon rouleau compresseur ...me pliant une ville côtière par la mer et profitant de mon réseau routier développé pour assiéger (trop) rapidement ma capitale, que j'avais voulue bien centrale. Quel con je fais
Je me rends alors compte que je suis éparpillé, que j'ai butiné mon trésor à construire des merdouilles, bref, il pille, je passe en récession, ça crie de toutes parts, il ne veut pas de paix, ni une ni deux je me fais retourner le slip sur la tête façon Wilco dans un grand jour
Bon, je ne jouerai plus une partie roi par à coups de 30min disséminés, je perds trop le fil des priorités